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Know Yourself !
6 août 2014

Remerciements

Nous y voilà, après quasiment 3 ans de vagabondage, je vous reviens en chair et en os, dans notre chère vieille Bourgogne, du moins pour un temps. Je voudrais profiter de ce dernier commentaire sur temetnosce (le blog même que vous lisez en ce moment) pour revenir sur ces 3 dernières années de ma vie. Une sorte de résumé, mes pensées philosophique actuelle (j’essaierai de pas être trop chiant ou long), mes projets futurs et donc mes envies, qui vous permettrons peut être d’un peu mieux cerner votre Quentinou, Bro’, Timaman, fiston, Mouère, Tonton, Coton-tige et j’en passe…

Je vais même vous la jouez en différents actes, histoire de me la péter un peu…Après 3 ans d’écritures acharnées, il serait malheureux de ne pas me considérer comme « écrivain ».

Je me pose beaucoup de questions, et ce depuis « toujours » cependant j’ai plus de faciliter aujourd’hui  à faire le tri entre les bonnes questions et les moins bonnes, trop superficielles je dirai. Ces 3 dernières années m’ont transformé, quand je repense au garçon que j’étais à l’époque de mes années d’études et plus généralement encore à l’époque précédent mon départ en Octobre 2011. Quand bien même il me reste tant de chemins à parcourir, tant d’erreurs à commettre, tant de nouvelles expériences à vivre, tant de larmes à surmonter, tant de rire à partager, tant de défauts à corriger (bon d’accord pas tant que çàJ), tant d’amour à offrir, tant à apprendre de la vie et toujours tant de questions à répondre.

Acte 1 : Connais toi toi-même, du latin « Gnoti Seauton »

Me connaître moi-même, « connais-toi, toi-même » tels le titre de ce blog et l’encre injecter sous la peau de mon avant bras, était mon grand cheval de bataille durant ces 3 dernières années. Je ne m’en étais pas rendu compte tout de suite d’ailleurs même si çà a été le cas depuis toujours, seul le recul m’a ouvert les yeux. Je voulais partir en tour du Monde pour moi, je voulais me découvrir et en prendre pleins la vue, voir des choses différentes et comprendre qui j’étais. Ma famille vivant en Belgique, les gens rencontrés aux USA lors de mes premiers voyages et mon ressenti personnel m’ont toujours donné l’impression d’être « étranger » à la France. Mais si je ne suis ni français, ni belge… Qui suis-je ? De plus, la politique en France et plus globalement européennes ne me donnais pas envie à l’époque de sacrifier mon temps, mon argent et mon énergie sur du long terme. Les récits de Julie et Justine (sœurs) sur leurs voyages en Australie, Angleterre et USA ont piqués ma curiosité et m’ont fait comprendre la diversité qu’offre notre monde. Une idée a fini par grandir en moi. Je ne supportai pas l’idée de passer une grande partie de mon existence en France ou même ailleurs, sans avoir la connaissance du monde qui m’entoure. Faute donc de patriotisme, le voyage était inévitable. De plus, selon mes croyances religieuses, c'est-à-dire aucunes, je vivais sur Terre, mourrai sur Terre et à ma mort, pas de joyeuses réincarnations ni paradis ou enfer et donc pas d’existence nouvelle possible. J’ai alors eu ce besoin de comprendre et voir le monde dans lequel je vivais, afin de n’avoir aucun regret futur, sur l’endroit où je déciderai de m’installer, l’endroit où je ne gaspillerai pas inutilement mon énergie et mon temps, si précieux et limité. Histoire de ne pas en perdre une miette !

Avec le recul, je sais aujourd’hui que c’est aussi un sentiment de manque de liberté qui à poussé mon départ. J’ai été en situation de couple, non stop, entre le 15 mai 2004 et le 15 Août 2011 et sans m’en apercevoir, ce sentiment de manque à grandi dans mes entrailles. Loin de moi l’idée de vous annoncer quelconques séquestrations de la part des mes amours passé mais plutôt l’idée de penser pour soi et non par ou pour l’autre. J’ai, sans vraiment le savoir, fait un lien entre ce besoin de liberté, ce besoin de me découvrir moi-même et ce besoin de voir le Monde. La seule réponse à ce lien, ce « manque »,  était donc toute désignée, un départ loin de mes repères, loin de ceux qui m’entouraient, pour reprendre en quelque sorte de zéro et essayer de comprendre et d’apprendre mon moi intérieur. Le voyage incarnait donc la réponse qui comblerait la plupart de mes interrogations.

Lors de mon tour du Monde (Octobre 2011 à Août 2012), j’ai rencontré des centaines de personnes de tous âges et de cultures différentes. Cela m’a permis d’écouter et de participer à de nombreuses conversations et beaucoup d’entre elles arrivaient à la même conclusion, ou du moins convergeaient souvent vers une même idée, celle de la nécessité à se connaître soi même. Mieux on se connaît soi même, au mieux on est à même de prendre les bonnes décisions, à mieux se relever de ses erreurs, à mieux comprendre ceux qui nous entourent et donc à mieux aider son prochain quand le besoin s’en fait sentir. Prendre connaissance de soi et savoir ainsi qui je suis me permet de mieux comprendre mes actes passés et ainsi mieux prévenir mes actes futurs. C’est pourquoi mon tatou « temet nosce (connais toi toi-même) » a tant de sens pour moi car il incarne tant de valeurs en lesquels j’ai foi. Dieu n’est qu’une excuse pour ne pas donner le meilleur de soi, vous seul êtes à même de donner le meilleur de vous même. Croyez donc d’abord en vous, avant de croire en toute autre chose. J’arrête ici sur la connaissance de soi car je pourrai en parler des heures, et j’en parlerai pendant des heures à qui voudra bien m’écouter et partager avec moi son ressenti sur ce sujet. En vue de ces longues et passionnantes conversations, prévoyez donc du thé et du café (agrémentés de petits gâteaux) si je passe prochainement vous faire une petite visite durant un bel après midi et du bon vin pour pimenter la conversation si la soirée fini par pointer le bout de son nez. Si la philosophie nous transporte jusqu’à minuit et que le vin ne suffit pas à venir à bouts de nos récits, alors la goutte le fera sans aucun doute. Santé !

Acte 2 : Ressenti sur le Monde.

Dès le début de mon tour du Monde, j’ai annoncé qu’après ce tour d’un an, je ferai le tour de l’Australie en 2 ans puis une année en Nouvelle Zélande. Pourquoi l’Australie ? Car mes sœurs y étaient, et paraissaient heureuse d’y vivre. De plus, tout le monde autour de moi parlait de ce continent comme d’un pays jeune, dynamique, plus cool et relax, où le soleil et le surf dominaient. Bien sûr, j’étais tenté. Ce qui a encore plus poussé mon départ, c’est qu’après mon tour du monde, mon identité me restai inconnue, je ne me sentais pas français pour un sous et ne me voyais pas vivre en Amérique latine, ni ailleurs d’ailleurs. L’Australie était donc pleine de promesses. Mais voilà, après 19 mois passé en Oz, je ne mis sens pas chez moi, la culture y est trop différente de l’Europe qui je l’admets, me manque beaucoup. Le problème principal de mon point de vue en Australie est que les gens ne prennent rien aux sérieux : « No worries mate ! ». Cela paraît cool au début mais çà fini vite par être pesant. L’australien est un peu « brut de décoffrage ». De plus, la politique ici est vraiment nul, tout comme les autres pays que j’ai visité auparavant.

Si j’ai bien appris une chose lors de mes voyages, c’est que la politique est de la « merde » partout. Donc partant de là, çà n’est plus vraiment un critère de sélection pour mon choix à venir sur l’endroit où je déciderai de vivre. J’ai aussi bien compris que le système de consommation massive dans lequel nous vivons est tous aussi « merdique ». Il suffit d’allumer la tv. Les américains tant pointé du doigt reste l’exemple N°1 international. En Amérique latine, les pays émergents cherchent à montrer leur puissance « nouvelle » par celui qui construira le plus de Mc Donald et autres restauration rapide dans leur villes. L’idée : « Plus ma ville à de fast food, plus çà prouve que nous avons de l’argent et que nous sommes puissant ». La publicité est aussi copier/coller sur les US. Les australiens ont eux aussi bien l’habitude de critiquer les américains, pourtant il n’y a qu’a regarder leur publicité à eux aussi pour tout de suite ce rendre compte qu’ils suivent à la lettre les règles américaines. Ils utilisent même des voix américaines lors des pubs car c’est plus « vendeur ». Moi qui pensai que la pub en France était d’une débilité sans précédent, je me rends compte qu’on est en faite presque intelligent…presque. Ici, c’est du télé shopping à tout bout de champs. Consommer, consommer, consumer …

Alors oui, j’ai fini par comprendre et entrevoir les forces et les points positifs de la France. Je l’ai quittée en ne voyant que ses défauts : « Politique de merde, trop de stress, trop de pluie, pas d’argent, peu voir pas de promesses d’avenir,… » et je l’a retrouve aujourd’hui changée, à mes yeux. J’ai vu les USA, j’ai vu l’Amérique latine, j’ai vu l’Australie/Nouvelle Zélande, j’ai vu un peu de l’Asie et de l’Afrique et s’il y a bien une chose que je peu dire, c’est qu’on est franchement bien lotis dans notre vieille France. On a la sécurité, celle de tout les jours, pas besoin de regarder constamment derrière soi pour être sûr que personne ne nous suit ou n’essaye de nous voler. On a la sécurité sociale et s’il y a bien un immense business naissant autour de la santé des gens, croyez moi que la sécu nous en tiens bien éloignés, pour l’instant. Notre nourriture est savoureuse et notre art de la gastronomie n’a quasi pas d’égale, surtout au jour le jour. Tout les aliments de consommation régulière en Oz et au USA ont moins de goût qu’en France (ou Europe). La proximité aussi est un plus en France, tout est à porté. Je parle des Alpes, de la mer, de l’océan, des plaines, de Paris, de la Suisse, de l’Allemagne, de l’Espagne, de l’Italie, du Luxembourg, de la Belgique et même de l’Angleterre que l’on peut tous atteindre en voiture en seulement quelques heures. Si l’on est près à prendre l’avion, quasi toutes les destinations possibles sont aussi à portés, New York en 6 heures, Afrique en 3 heures, Asie en 8 heures. L’Australie oui c’est joli, mais il faut rouler souvent 2000 kilomètres (Aller et retour Nice / Lille) pour passer d’une attraction à une autre !

Maintenant, je vois en France un beau pays très diversifié (Châteaux de la Loire, Paris, Puy de Dôme, Alpes, Alsace, vins,…). Je vois en France un pays facile d’accès offrant multitudes de destinations à l’étranger. Je vois en France l’euro, une monnaie dont le taux de change est le plus élevé au Monde après le pound anglais. Je vois en France ma famille, mes amies et amis qui me soutiennent. C’est assez de raisons pour me donner envie de travailler dur, de dépenser toute mon énergie et mon temps pour profiter de la vie que m’offre ce petit bout de terre appelé France. Cependant, je sais que l’état français ne respecte pas les valeurs qui sont les miennes, que le monde dans lequel nous vivons est manipulé par une poignée de gens, que les inégalités n’arrêteront pas d’augmenter et que seul un soulèvement mondial massif pourra changer les choses et mettre à bas le capitalisme. C’est pourquoi je compte bien vivre ma vie selon mes envies, payer mes dettes et quelques impôts mais c’est sans foi en la France que je vous reviens. Je ne parle pas ici de François Hollande car il n’est pour moi qu’un pauvre type qui fait tout son possible pour nous faire survivre dans cette débâcle et j’en éprouve bien de la compassion pour lui. Ce dont je parle c’est du système mondial basé sur le capitalisme, qui manipule le monde pour enrichir une poignée seulement. Je connais tant de gens ayant tout perdu ou n’ayant peu ou pas de retraite car ils se sont fait avoir par le gouvernement ou par des assurances. Difficile à appliquer, mais j’essaierai d’être le moins possible impliquer dans le gouvernement et de leur donner un minimum d’argent. Je n’ai aucune foi dans la politique. Allez, je m’offre une petite citation de Coluche : « Si voter, changeait quelque chose, il y a longtemps que çà serait interdit ».

Tout autour de nous, toutes nos vies et nos actes ne sont qu’une idée inculquée de force dès la naissance, tel un lavage de cerveau, dont l’unique but est de nous faire consommer. L’éducation est totalement manipulée, les médias, les politiques, les films,… Constamment, on nous empêche de penser, on nous vend de la peur ! Ce serait bien trop long de vous expliquer le fond de ma pensée, c’est pourquoi à mon retour, je vous montrerai deux films (j’en ai des dizaines sur le sujet), l’un de Michael Moore et l’autre de Ron Fricke qui devraient non seulement vous ouvrir les yeux et aussi vous faire réfléchir sur l’état actuelle des choses. En attendant, prenez le temps ce soir en vous couchant, de réfléchir 5/10 minutes à qu’elle serait votre vie sans le capitalisme et tout ce qu’il implique ? Pas facile de vraiment s’y mettre car je sais que très peu d’entre vous le ferons car penser « c’est chiant et çà prend du temps » et le voyage, et bien, çà donne le temps de penser. Çà fait 3 ans que je prends le temps de penser, alors je peux difficilement vous demander de « penser » en 5/10 minutes. Disons que ce sera déjà un début ! Je sais que les ¾ d’entre vous se diront : « j’attendrai de voir les films » car vous n’êtes plus habitués à penser. Je ne suis pas entrain de dire que vous êtes stupide, loin de là, je montre juste du doigt la société dans laquelle nous vivons. On en reparlera.

Acte 3 : Prise de conscience

J’aimerai maintenant revenir un peu sur le bilan de ce voyage de 3 ans. Je peux en faire un bilan par les chiffres. 10 pays visités lors de mon tour du monde, un peu moins de 60 000 dollars soit 40 000 euros dépensés en un peu moins de 3 ans. J’aurai pu avoir avec tout çà, une belle voiture et même peut être commencé à rembourser un appartement. Au lieu de çà, j’ai bien plus. Ces dizaines de milliers de dollars m’ont donnés accès à la connaissance, au savoir, à l’émerveillement. Cela n’a pas de prix ??? Si, il en a un, je viens de le démontrer, mais c’est un apport moral non négligeable. J’ai tant appris des autres, de moi, j’ai tant vu de différents paysages, vu tant d’animaux, d’insectes d’ont je n’imaginais même pas les formes, les couleurs ni même leurs existence. Mais voyager, c’est comme manger un moelleux au chocolat. Après la première cuillère, impossible de résister à une deuxième et si vous mangez trop, vous aurez mal au ventre. J’ai aujourd’hui atteint ce stade  « d’indigestion ». 

Certains me disent que je suis fou quand je leur dit que je me sens prêt à rentrer. Que je suis prêt à reprendre un rythme de vie « normal », que je suis prêt à embrasser une routine « boulot, impôts, dodo ». C’est pourtant vrai. Je suis fatigué de voyager, « j’ai mal au ventre ». Lorsque j’ai quitté la France, je savais ce que je quittais, mon rythme de vie, etc.… Puis quand je suis revenu de mon tour du monde, j’ai aussi retrouvé une France qui m’avait manqué, à mon grand étonnement. Sentiment encore plus marqué lors de mon retour après un an passé en Australie. Maintenant, la donne à changée, je sais d’où je viens, je sais ce qu’est le voyage, l’inattendu, l’aventure. C’est pourquoi je sais que je suis prêt à rentrer et quand on me dit : « Après 2 mois, tu vas vouloir repartir », je réponds toujours que non, car je connais mon passé, je connais toute cette vie « sac à dos » et j’ai envie d’autres choses maintenant. Bien sûr, je continuerai à voyager, toute ma vie et autant que possible, mais ce ne sera plus que du second plan, pas le premier. Ce que je fuis principalement aujourd’hui, c’est la vie éphémère qu’implique le voyage. La plupart des composants de mes 3 dernières années vécues ne sont que temporaire. Les gens que je rencontre, l’amitié qui naît en nous, les paysages, les villes où je suis resté, les bières écoulées, tout ceci aura disparu demain. Je ne suis que de passage, alors ma vie repose sur des personnes, des lieux qui ne sont que temporaire. Il est très difficile de construire sur du long terme en voyageant, si ce n’est sont esprit, qui lui reste toujours en moi et mémorise mon vécu.

Voilà pourquoi je sais que je suis prêt à rentrer car j’ai envie de construire une vie un peu plus permanente. A trop se chercher on peut se perdre soit même. J’ai besoin de plus de marques, d’avoir un pied a terre quelque part. Mon chez moi, mon boulot, ma moto… J

Remerciements :

J’aimerai dire un immense MERCI à ma famille, sans qui je n’aurai pu faire tout mes voyages sur un laps de temps si réduit. J’ai pu assumer financièrement pendant la majorité du temps mais vous m’avez parfois sauvez la mise. Sans vous, çà aurait été « retour à la case départ ».

Merci à ma maman, qui lorsque j’avais 19 ans, m’a poussé à m’envoler pour les USA, d’abord en tandem avec Julie, ma sœur, puis en solo. C’est donc un peu toi qui m’as attiré vers le virus du voyage que j’attraperais à 19 ans. Tu m’as toujours beaucoup accompagné et toujours répondu longuement à toutes mes interrogations. Merci pour ta patience et merci d’être ma maman. Tu es toujours là pour moi, et ce n’est pas rien. Merci.

Bien sûr un immense MERCI, à mon papa, pour son soutien permanent et sa grande générosité. C’est papa qui m’a offert l’héritage de Bonne Maman, sa maman, ma grand-mère, qui m’a permis d’acheter mon van et partir pour l’Australie aussi vite. Merci à lui d’avoir été le premier à m’offrir pour mes 21 ans, une jolie lettre contenant quelques euros et l’adresse internet OneWorld pour faire le tour du Monde, qui a déclenché mon départ (après un an de préparation).

Je remercie aussi mes sœurs, d’abord Julie, pour m’avoir bien épaulé durant cette dernière année australienne. Merci à vous deux de m’avoir hébergé lors de mes passages et pour toutes vos démarches et conseils pour lancer mon aventure en Oz.

Bien sûr, je n’oublie pas ma chère Manmie, Marion, Francis, mes ami(e)s, cousins, cousines, oncles et tantes, qui ont toujours gardé contacts avec moi. Merci d’avoir lu mon blog et d’avoir suivi mes aventures. Avant je disais : « Voyager est un choix, rien avoir avec la chance ». C’est faux, car sans vous tous, il m’aurait été beaucoup plus difficile de partir si loin et si longtemps. Merci à tous.

PS : En bonus, je vous reviens en forme, mes analyses sanguines sont bonnes ! Même mon taux de gamma GT est bas (21)! Donc maman m’a dit : vas-y tu peux boire plus ! Toujours écouter sa maman….

Je vais d’ici quelques mois me renseigner auprès de rédacteur pour écrire mon livre…En faites, il est déjà écrit avec l’intégrale de mes deux blogs, il faut juste y mettre un peu d’ordre et écrire un peu plus histoire d’y mettre la forme !

A YEAR AROUND THE WORLD

TEMET NOSCE

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Commentaires
J
Magnifique ce resume, je suis epatee ! Tout a fait d accord avec toi sur beaucoup de choses. C est super de penser comme cela a 25 ans. Le nouveau chapitre de ta vie est devant toi, tu peux vraiment faire ce que tu veux et te creer une tres belle petite vie. Ce livre est une excellente idee, c est super pour de futurs voyageurs de lire ton histoire, ca aide pour partir et cela donne envie. Bon courage pour la suite et a bientot.
S
Tres bon resume! Trop de choses a dire ... Bonne idee ce livre, style on the road de Kerouac! Tu peux recreer une nouvelle Beat Generation!! Nous on est pareil, besoin de se poser un peu et d'avoir un chez nous apres 1 an pile poil sur la route mais 6-7 ans meme en tout! ... a ceux qui ont le desir de voyager, lacher tout et faites le! Votre petite ville et le boulot et la maison seront toujours la quand vous le voulez!<br /> <br /> bisous de Porto, derniere destination avant PARIS! On verra qui reste en France le plus longtemps?
A
Voilà j'ai lu. Belle analyse à un si jeune âge. <br /> <br /> Oui à débattre, à philosopher encore et encore sur toutes ces choses de la vie tant éphémères . <br /> <br /> L'être humain est rempli de contradictions, d'oppositions d'où l'intérêt majeur effectivement de se connaître et savoir donner un sens à sa vie.<br /> <br /> BRAVO pour ces 3 années Quentin.<br /> <br /> @++ et bonne route pour la suite..
M
Oui, tu as pris de l'assurance et de la maturité, du recul.<br /> <br /> C'est super à 25 ans d'avoir grâce à ces voyages touché à l'essentiel, cela te permet de prendre une direction et de savoir ce que tu veux et ce que tu rejetteras.<br /> <br /> Ta ligne de conduite évoluera encore, nous évoluons tous au gré des années mais tu resteras le même au fond de tes tripes.<br /> <br /> J'ai moins voyagé que toi mais je suis également souvent lassée par ceux qui critiquent la France, elle pourrait mieux faire c'est certain mais nous sommes en sécurité et n'est-ce pas quasi l'essentiel pour vivre le quotidien.<br /> <br /> Je suis partante pour une soirée philo...arrosée mais pas trop sinon on finit par refaire le monde de façon trop aléatoire...le lendemain on ne sait plus de quoi on a parlé ;)<br /> <br /> Merci pour tes remerciements, merci d'avoir toujours communiqué, c'est pas évident tous les jours pour des parents d'avoir des enfants globe trotter...<br /> <br /> Je te fais confiance pour la suite, tu es un humaniste, courageux et réfléchi.<br /> <br /> Je t'aime mon fils.
D
Je lis avec grand intérêt ce magnifique post et ma première réflexion c'est de me dire que tu as réussi ton voyage, atteint ton objectif mais le plus important peut être c'est d'être reste malgré tout toi même . Le même beau fruit , juste un peu plus mur . <br /> <br /> J'étais déjà très fier de toi, je le suis encore bien plus<br /> <br /> Je t'aime mon fils !
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  • Mot‑clé de l’humanisme, le « Connais-toi toi-même » socratique assigne à l’homme le devoir de prendre conscience de sa propre mesure sans tenter de rivaliser avec les dieux. Mieux se connaître nous rend meilleur, mon âme appartiendrait elle à l' Australie?
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